Aux environs de 1890, Châtel-St-Denis était une bourgade. Les chemins de fer la reliant à Palézieux et à Bulle n’étaient pas encore construits, le téléphone n’existait pas et le tourisme, quand il débordait de la Riviera lémanique, n’était pratiqué que par quelques excentriques. Autant dire que l’arrivée, de Suisse alémanique, d’un certain Emile Schrag, meunier-boulanger de profession, ne passa pas inaperçue. Surtout qu’il épousa une Châteloise pur teint, Marie Genoud du Crotalon.
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